La candidature de l’ancien chef de gouvernement Ali Beflis à la prochaine élection présidentielle d’avril 2014 se précise de plus, d’autant plus que des comités de soutien à sa candidature sont installés dans plusieurs wilayas du pays et les appels à sa candidature se multiplient.
Des organisations d’enfants de chouhadas, des moudjahiddines, d’anciens parlementaires et de sénateurs du Front de libération national (FLN), et des partisans d’Ali Beflis, se sont réunis dans l’après-midi de ce samedi 9 novembre, à la salle des conférences de l’hôtel Sofy de Bouira, pour lancer un appel à cet homme pour se présenter à cette élection présidentielle, a-t-on appris sur place.
« Le pays vit une crise économique, sociale et politique. Il y a une seule personne qui pouvait sortir l’Algérie de cette crise, c’est notre frère, Ali Benflis », a déclaré Abdelkader Fedhala, ancien député du FLN. Ce dernier a motivé cet appel, par le fait que l’enfant des Aurés (Batna) est issu d’une famille révolutionnaire.
« Nous nous sommes pas contre les autres candidatures, mais notre souhait est de voir Ali Beflis candidat à l’élection présidentielle, » a précisé de son côté, Mohamed Allalou, ancien ministre à l’époque de gouvernement Benflis.
« Nous refusons que notre pays soit géré par une procuration », a-t-il dit. Une attaque à peine voilée contre le président Abdelaziz Bouteflika, qui de l’avis des observateurs de la scène politique a délégué ses pouvoirs au premier ministre Abdelmalek Sellal, pour cause de sa maladie. D’autres parlementaires présents à la salle et qui ont pris la parole, relancer leurs appels envers Ali Benflis afin de se porter candidat.
« Le pays vit une crise économique, sociale et politique. Il y a une seule personne qui pouvait sortir l’Algérie de cette crise, c’est notre frère, Ali Benflis », a déclaré Abdelkader Fedhala, ancien député du FLN. Ce dernier a motivé cet appel, par le fait que l’enfant des Aurés (Batna) est issu d’une famille révolutionnaire.
« Nous nous sommes pas contre les autres candidatures, mais notre souhait est de voir Ali Beflis candidat à l’élection présidentielle, » a précisé de son côté, Mohamed Allalou, ancien ministre à l’époque de gouvernement Benflis.
« Nous refusons que notre pays soit géré par une procuration », a-t-il dit. Une attaque à peine voilée contre le président Abdelaziz Bouteflika, qui de l’avis des observateurs de la scène politique a délégué ses pouvoirs au premier ministre Abdelmalek Sellal, pour cause de sa maladie. D’autres parlementaires présents à la salle et qui ont pris la parole, relancer leurs appels envers Ali Benflis afin de se porter candidat.
