Dans une lettre adressée, jeudi dernier, à la communauté algérienne établie à l’étranger, Ali Benflis demande aux Algériens de l’émigration de déployer leur énergie pour faire triompher la démocratie et faire aboutir son projet de construction d’un «Etat de droit et de justice».
Le candidat à la présidentielle du 17 avril, Ali Benflis, invite les Algériens vivant à l’étranger à se mobiliser en faveur du «changement responsable» qu’il propose.
Dans une lettre adressée, jeudi, à la communauté algérienne établie à l’étranger, ce principal challenger du président sortant demande aux Algériens de l’émigration de déployer leur énergie pour faire triompher la démocratie et faire aboutir son projet de construction d’un «Etat de droit et de justice» en mesure de «garantir la paix, l’égalité des chances et l’égalité des droits et des devoirs entre tous les Algériens». «J’ai besoin de toute votre énergie et de votre volonté de changement pour redonner à notre pays l’ambition et le respect qu’il mérite.
A tous, je dis : ‘‘Unissons-nous pour faire de l’espoir une réalité’’», a-t-il écrit, assurant dans ce sillage que son programme – qu’il dévoilera dans le détail dans les prochaines semaines – comportera des mesures «très concrètes» pour la communauté algérienne établie à l’étranger «en faveur du développement économique, mais également pour faciliter les différentes démarches administratives consulaires et universitaires de nos ressortissants». Il s’engage à donner sa place à la jeunesse ayant grandi et étudié à l’étranger, notamment en France. «Cette jeunesse a des compétences et constitue un potentiel formidable pour l’Algérie. Je tiens à dire à cette jeunesse qu’elle a toute sa place en Algérie», a-t-il relevé, expliquant sa vision des choses. Il dit défendre un «projet» qui «vise à permettre à chaque Algérienne et à chaque Algérien de retrouver la confiance et l’espoir dans son pays, de porter une ambition et un avenir pour sa jeunesse, un projet qui permette à chacune et chacun de trouver sa place dans un esprit de solidarité et de justice». Il souhaite construire une «société des libertés, de la connaissance et de la prospérité partagée». Ali Benflis dit placer ainsi au cœur de son action «les questions de la jeunesse, de l’éducation, de la santé et de la lutte contre toutes les formes de corruption qui mettent à mal notre modèle démocratique».
Il considère que «l’aspiration croissante et légitime de notre jeunesse à prendre en main son destin doit trouver un écho favorable». «Notre pays doit remettre sa destinée entre les mains de ses jeunes ; j’ai pleinement confiance en notre jeunesse pour assumer cette responsabilité et mettre tout son potentiel au service du développement de notre pays», a-t-il martelé. Ainsi, il demande aux Algériennes et aux Algériens de l’aider à relever ce défi majeur pour l’avenir de l’Algérie, à savoir celui de conduire les transformations qu’exige une grande
nation. «Le chemin n’est certes pas facile, estime-t-il, mais sachez que mon engagement est sincère et ma détermination sans limite.» Le candidat Ali Benflis courtise particulièrement les Algériens de France, qui constituent un véritable réservoir électoral.
EL WATAN
Dans une lettre adressée, jeudi, à la communauté algérienne établie à l’étranger, ce principal challenger du président sortant demande aux Algériens de l’émigration de déployer leur énergie pour faire triompher la démocratie et faire aboutir son projet de construction d’un «Etat de droit et de justice» en mesure de «garantir la paix, l’égalité des chances et l’égalité des droits et des devoirs entre tous les Algériens». «J’ai besoin de toute votre énergie et de votre volonté de changement pour redonner à notre pays l’ambition et le respect qu’il mérite.
A tous, je dis : ‘‘Unissons-nous pour faire de l’espoir une réalité’’», a-t-il écrit, assurant dans ce sillage que son programme – qu’il dévoilera dans le détail dans les prochaines semaines – comportera des mesures «très concrètes» pour la communauté algérienne établie à l’étranger «en faveur du développement économique, mais également pour faciliter les différentes démarches administratives consulaires et universitaires de nos ressortissants». Il s’engage à donner sa place à la jeunesse ayant grandi et étudié à l’étranger, notamment en France. «Cette jeunesse a des compétences et constitue un potentiel formidable pour l’Algérie. Je tiens à dire à cette jeunesse qu’elle a toute sa place en Algérie», a-t-il relevé, expliquant sa vision des choses. Il dit défendre un «projet» qui «vise à permettre à chaque Algérienne et à chaque Algérien de retrouver la confiance et l’espoir dans son pays, de porter une ambition et un avenir pour sa jeunesse, un projet qui permette à chacune et chacun de trouver sa place dans un esprit de solidarité et de justice». Il souhaite construire une «société des libertés, de la connaissance et de la prospérité partagée». Ali Benflis dit placer ainsi au cœur de son action «les questions de la jeunesse, de l’éducation, de la santé et de la lutte contre toutes les formes de corruption qui mettent à mal notre modèle démocratique».
Il considère que «l’aspiration croissante et légitime de notre jeunesse à prendre en main son destin doit trouver un écho favorable». «Notre pays doit remettre sa destinée entre les mains de ses jeunes ; j’ai pleinement confiance en notre jeunesse pour assumer cette responsabilité et mettre tout son potentiel au service du développement de notre pays», a-t-il martelé. Ainsi, il demande aux Algériennes et aux Algériens de l’aider à relever ce défi majeur pour l’avenir de l’Algérie, à savoir celui de conduire les transformations qu’exige une grande
nation. «Le chemin n’est certes pas facile, estime-t-il, mais sachez que mon engagement est sincère et ma détermination sans limite.» Le candidat Ali Benflis courtise particulièrement les Algériens de France, qui constituent un véritable réservoir électoral.
EL WATAN
